C’est le refrain d’une chanson qui nous pousse à l’engagement, nous appelle à ouvrir les yeux sur l’état de la société, des sociétés … du monde entier.

Jeudi 19 Août 2021, en préambule du congrès des CEMÉA le regroupement des outre-mer ouvre les festivités. Après le partage des coutumes du matin, dans l’amphi 202 du campus on parle du futur du pays Kanak et du rôle d’une association d’éducation nouvelle dans un projet de société qui se construit.

On se lève, on se bouge et on lutte … Comment s’y prend-on ? Il y a d’abord l’ambiance, donner envie d’agir : ici une équipe installe des expos, une autre des affiches, là un pont lumière, là-bas une banderole, les idées fusent, on essaye, ça fonctionne, les premier·e·s arrivé·e·s sont à la manœuvre, et soignent l’accueil des suivant·e·s, les petites équipes s’agrandissent et des responsabilités sont prises au fur et à mesure. Et d’accueil en accueil ce sont 450 personnes qui seront en action.

Jeudi soir l’espace convivialité se remplit, les guirlandes colorées de la Grande Goule, le bar du congrès nous guident. Les lumières, les chants et les senteurs des dégustations proposées sur le forum posent l’ambiance, un spectacle est annoncé, allons-y … On se lève, on se bouge et on lutte.

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« L’importance de la valorisation, de la reconnaissance des différentes formes d’engagements volontaires des jeunes » Ludovic Falaix

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