Jean-Luc Cazaillon, directeur général des CEMÉA donne le top départ du 12ème congrès de ce mouvement d’éducation nouvelle en exhortant les militant·e·s à ne pas se regarder le nombril au moment où les signaux d’alerte virent au rouge dans la société.

Les mots employés sont forts et s’affichent comme des pancartes d’appel au rassemblement : « Faire face à la pénétration de l’idéologie droitière, conservatrice, réactionnaire » « Nous sommes victimes d’attaques sur les libertés ». Le directeur général sonne le rassemblement non seulement pour mobiliser au sein du mouvement mais pour ne pas rester seul·e·s et faire front, comme en 1921 lors de la création de la ligue internationale de l’éducation nouvelle ou en 1936 quand l’éducation populaire s’engage contre la montée des fascismes.

L’enjeu est posé, mais Jean-Luc Cazaillon souhaite, malgré la gravité du diagnostic, un congrès refaisant élan après des mois de visioconférences pour se donner la pêche et agir autour de ce qui est commun à celles et ceux qui sont avec lui « Dans cette espèce de joie de vivre dont nous sommes également capables »

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« L’importance de la valorisation, de la reconnaissance des différentes formes d’engagements volontaires des jeunes » Ludovic Falaix

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